Les effrontés commencent à passer le bec hors du nichoir. Un petit cri ti, ti, ti, rappelle aux parents que l’appétit des petites mésanges est insatiable.
Pour ne pas perturber les oisillons et le nourrissage, les photos sont prises avec une focale de 800 mm, ce qui permet un large périmètre de sécurité.
Les parents ont perdu de leur superbe : à raison de 300 à 500 allers-retours quotidiens, les organismes souffrent et ça se remarque lorsqu’un des parents attend dans le merisier que son partenaire quitte le nichoir…
Et voilà les derniers clichés avant le grand départ ! Les oisillons se sont montrés deux jours avant l’envol et puis, hop ! Disparus sans dire au revoir.